Agradezolle enormemente a Fraçois Davo, amigo e poeta, a tradución que fixo do poema adicado a París.
Je
ne suis jamais allé à Paris.
J'ai
entendu chanter sa beauté,
idéalisée...
Ses
nuits de bohème
et
ses rues peuplées de fées...
Je
ne suis jamais allé à Paris.
J'ignore
tout de ses parfums
des
heures qui se drapent de regards
et
de celles qui se dénudent dans le clair obscur
des
passages du désir...
J'ignore
aussi les pas perdus
qui
se retrouvent dans une étreinte
dans
l'incandescence froide du fer
-coeur
inversé-
qui
bat à ciel ouvert.
Je
ne suis jamais allé à Paris.
Je
sais que tout le sang est rouge
que
les larmes brûlent les lèvres déchirées
et
que toutes les morts sont inutiles.
D'un
sourire ne jaillit que la vie.
Tradución: Fraçois Davo